Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) demande au gouvernement de corriger les iniquités touchant les préposés aux télécommunications de la Sûreté du Québec (SQ).
Les centres de gestion d'appel (CGA) de la SQ peinent à garder leurs employés en raison d'une classification inadéquate des préposés.
C’est vraiment la classification du corps d’emploi, la problématique. Dans le fond, ils (préposés aux télécommunications) ne sont pas reconnus comme des services d’urgence par la Sûreté du Québec. Ce qui fait que leur salaire est moindre que leurs homologues travaillant pour le 9-1-1 dans les villes. On parle d’une différence de 15 000$ à 30 000$ annuellement. Ça génère un autre problème qui est une pénurie de main-d’œuvre. Les CGA sont toujours en roulement parce que justement ils peinent à retenir leurs employés.
Il y a deux (2) CGA, Gatineau et Mascouche, pour les trois régions, qui emploient un peu plus d'une cinquantaine de travailleurs.
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