Des locataires de Montréal, mais aussi de Mirabel et de St-Jérôme, ont témoigné cette semaine des conséquences de la crise du logement.
Selon le FRAPRU, le manque de logements sociaux, l’insalubrité, les logements de taille inadéquate ou trop chers, les hausses de loyers abusives et les pratiques discriminatoires sont monnaie courante partout au Québec et dans les Laurentides.
La porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, exige que le gouvernement Legault fasse davantage pour faciliter l’accès au logement social et pour contrer l’effritement du parc de logements locatifs encore abordable.
Le FRAPRU souhaite que les nouveaux élus municipaux obligent les promoteurs à construire des logements abordables et encadrent davantage les transformations de logements en hébergements touristiques, observées dans les Hautes-Laurentides.