Du nouveau dans le litige circulation entre Saint-Jérôme et Saint-Colomban.
Plus tôt cet été, Saint-Jérôme a adressé une demande de redressement territorial pour que toutes les approches de l'intersection St-Nicolas/Lamontagne, qu'elle partage avec sa voisine, soient situées sur son territoire.
La capitale régionale, par voie de communiqué, vendredi dernier (15 octobre), parle d'un dossier qui suit toujours son cours, mais fait maintenant état d'une demande d'annexion plutôt que de redressement territorial.
Voici l'intégralité de cette communication:
RÉACTIONS
Pour le maire de St-Colomban, Xavier-Antoine Lalande, c'est un changement de discours qui énonce clairement les couleurs de l'administration jérômienne.
C’est deux termes complètement différents. Dans le contexte légal, lorsqu’on fait une demande de redressement territorial c’est souvent pour une question d’erreur cadastrale ou d’arpentage. Quant à une demande d’annexion, souvent on va le voir lorsqu’il y a des quartiers qui sont mal desservis par leur ville et qui considéreraient être mieux desservis par la ville voisine. C’est pas du tout le même processus, absolument pas. Saint-Jérôme vient confirmer, un peu, par le redressement territorial qu’elle essaie de camoufler une demande d’annexion. Une telle demande, lorsque les deux villes ne sont pas d’accord, je ne me rappelle pas, moi, avoir vu un précédent en pareille matière