Les infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes des Laurentides refuseront de faire du temps supplémentaire obligatoire en fin de semaine.
Comme leurs collègues de l'Outaouais, le Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides (FIQ-SPSL) a lancé un appel à ses 4500 membres afin qu'ils refusent catégoriquement toute demande en ce sens de la part du CISSS des Laurentides.
La présidente du syndicat, Julie Daignault, veut envoyer un message clair au gouvernement et à l'employeur.
La FIQ, qui représente 76 000 professionnelles de la santé au Québec, a lancé mardi une grande campagne contre le travail supplémentaire obligatoire, soit «le TSO, c’est un assassinat professionnel».