Le lieu : La Nouvelle-Orléans… L’année : 1834. Un incendie au 1140 rue Royale ― en plein cœur du quartier français ― révèle des abominations dignes du Dr Frankenstein. Des esclaves auraient été torturés et mutilés dans une chambre des horreurs. À l’étonnement de tous, leur tortionnaire est l’une des personnalités les plus en vue de la bourgeoisie néo-orléanaise : Madame Delphine Lalaurie. Ses crimes sont si monstrueux que la presse de l’époque préfère s’autocensurer plutôt que de révéler à ses lecteurs de telles abominations. Les crimes de Madame Lalaurie deviendront bientôt les spectres de l’une des plus étranges histoires de fantômes et de malédiction d’Amérique.
En 1961, un couple d’Américains, Betty et Barney Hill, a raconté avoir été enlevé par des extraterrestres alors qu’il roulait dans les Montagnes blanches du New Hampshire. Les Hill n’étaient pas les premiers à tenir ce genre de discours, mais leur récit a fait sensation. Depuis, le phénomène des « enlèvements extraterrestres » ― les Rencontres rapprochées du 4e type ― est devenu l’un des thèmes incontournables du dossier des OVNIs. Faut-il accorder le moindre crédit à ces récits ? Où sont les preuves ? Ces témoins souffrent-ils tous d’un délire « moderne » ? Les enlèvements extraterrestres sont-ils l’expression sociale d’une certaine culture populaire ou les prémices d’une menace beaucoup plus inquiétante ?
Jésus de Nazareth est l’un des personnages les plus influents de l’histoire du monde. Pourtant, les informations historiques à son sujet restent anémiques. En effet, en dehors des Évangiles, il n’existe que très peu de sources laïques. Comment expliquer cette « discrétion » ? Que nous apprennent ces sources ? Si la grande majorité des historiens accepte la réalité d’un « Jésus historique », le portrait que les experts en font est assez éloigné des saintes Écritures. Quant aux reliques qui pourraient nous aider à résoudre l’énigme Jésus, la science exprime des doutes légitimes. De ces nombreux visages, lequel est vraiment celui de Jésus de Nazareth ?
Le 20 novembre 1989, à l’aube, des dizaines de résidants de l’agglomération de Sainte-Marie-de-Monnoir, en Montérégie, observent d’étranges lumières dans le ciel. Deux jours plus tard, une trace de 20 mètres de diamètre est découverte dans un champ du voisinage. Des analyses de sol et de végétaux vont révéler des taux d’azote et de chlorophylle anormalement élevés. On pourrait croire que la présence de ces lumières étranges a eu des effets inattendus sur l’environnement immédiat. L’histoire de «l’OVNI de Sainte-Marie-de-Monnoir» va se révéler un cas d’école pour les ufologues, spécialistes autoproclamés des OVNIs.