Les hôpitaux ne peuvent être considérés comme des haltes-chaleur à proprement dit, mais les hôpitaux des Laurentides accueillent bel et bien des personnes en situation d'itinérance.
Appelé à réagir à la situation rapportée par CIME à l'urgence de Saint-Jérôme, c'est ce que le CISSS des Laurentides mentionne dans une communication écrite.
Le CISSS soutient que différentes actions sont déployées dans les circonstances, telles que la présence constante d’agents de sécurité, de caméras de surveillance et la bonification des tournées des agents de sécurité dans les stationnements.
L’éclairage en termes d'intensité de luminosité a également été mis à jour.
Enfin, la mobilisation du programme ESPOIR permet des interventions auprès des personnes en situation d'itinérance.
Le CISSS affirme travailler en collaboration avec différents partenaires du milieu.
Bien qu'on mentionne que les hôpitaux ne doivent pas être considérés comme des haltes-chaleur, le CISSS soutient du même coup que sa priorité est d’offrir, autant à aux employés, qu’à la population ainsi qu’aux personnes dans le besoin, des espaces bienveillants où la sécurité, le respect et les besoins de base de chacun sont respectés. Pour ce faire, la fréquentation des lieux doit se faire dans le respect du code de vie des installations.
Aucune mesure supplémentaire n'est cependant annoncée pour le moment en réponses aux actes de violence rapportés récemment.
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