Le taux de logements inoccupés s'élève à moins de 1 % dans plusieurs villes des Laurentides.
C'est notamment le cas à Saint-Jérôme et à Sainte-Sophie.
À deux semaines du 1er juillet, la porte parole du Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, s'inquiète de la tournure de la crise du logement qui perdure depuis quelques années.
Selon elle, c'est non seulement un problème de rareté de logements, mais aussi d'inabordabilité.
Sans objectif précis de la part du gouvernement, Mme Laflamme constate qu'il n'y a aucune prévisibilité, autant pour les municipalités que pour les organismes en habitation et les locataires.
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