Le Centre de service scolaire des Laurentides dit vouloir remettre les pendules à l'heure après avoir été pointé du doigt, hier, par le syndicat des enseignants qui réclame la réouverture des classes pour les élèves en difficulté.
En entrevue avec CIME, le directeur Sébastien Tardif dément qu'il n'y ait plus de classes pour ces enfants soutenant plutôt que le service a été transformé en classes hybrides.
Selon lui, une analyse effectuée en 2021 a forcé le centre de services à revoir les services offerts aux élèves, devant des résultats décevants.
Toujours à contresens du syndicat, le DG du CSS des Laurentides affirme que cette offre augmente le sentiment d'appartenance des élèves à l'école.
Quant aux enseignants, il soutient que bien qu'on souhaite toujours de meilleurs services pour les élèves en difficulté, les échos du terrain sont généralement positifs.
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