SAGA DE L'URGENCE DE RIVIÈRE-ROUGE | Des infirmières se seraient portées volontaires pour travailler de nuit, mais n'auraient pas été contactées par le CISSS.
C'est ce qu'a confié à CIME la présidente de la FIQ Laurentides, le syndicat qui les représente alors que l'urgence devait fermer de nuit en raison d'un manque de personnel.
Julie Daignault affirme que du personnel s'était montré volontaire passé le 1er février, mais n'a pas été contacté, malgré le contexte de grave pénurie plaidé par le CISSS pour décréter la fermeture de nuit de l'urgence de l'hôpital de Rivière-Rouge de nuit.
Elle demande que le CISSS des Laurentides forme adéquatement le personnel pour travailler en salle d'urgence au besoin.
Réponse du CISSS
À la suite de nos appels à tous afin de combler des quarts de travail vacants à l’urgence de Rivière-Rouge, nous sommes très reconnaissants envers les personnes qui ont manifesté leur intérêt.
Afin de pouvoir offrir des soins de qualité et sécuritaires à la population, nous nous devons de sélectionner les profils professionnels qui répondent aux exigences requises en soins d’urgence. Ces personnes ont été contactées.
Par ailleurs, au plan juridique, la Cour supérieure a tranché hier et a repoussé de 6 mois, la fermeture de nuit de l'urgence.
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