Les changements climatiques et les pluies diluviennes coûtent cher aux contribuables des municipalités.
Les infrastructures, qui datent bien souvent de plusieurs décennies, ne sont pas faites pour recevoir autant d'eau.
C'est le cas à Sainte-Anne-des-Lacs notamment, où l'an dernier uniquement, la municipalité de 3 600 habitants a dépensé 500 000 $ supplémentaires uniquement pour réparer des ponceaux d'urgence. Cette somme s’ajoute à tous les coûts à défrayer pour réparer la chaussée endommagée par le passage des torrents.
Source: Cogeco Media
Aide de la population réclamée
Devant l’ampleur des pluies que l’on connaît de plus en plus, la municipalité demande la coopération des citoyens.
Comme le rappelle la mairesse Catherine Hamé-Mulcair, il est de la responsabilité de chaque citoyen de nettoyer le ponceau qui se trouve dans leur entrée.
Lorsque bloquée, l’eau doit se trouver un chemin. En passant dans dans la rue ou dans les fossés, le courant peut provoquer des affaissements, bloquer la route ou pire encore des glissements de terrain.
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