Le Centre de services scolaire des Laurentides (CSSL) est convaincu que la violence est bien gérée dans ses écoles.
Alors que CIME a appris que la Sûreté du Québec a dû intervenir à plus de 200 reprises depuis 5 ans pour des agressions, bagarres, menaces ou de l'intimidation, la directrice générale adjointe, Julie Lamonde, refuse de parler d'une augmentation du nombre de cas et de leur sévérité, comme l'affirme le Syndicat des enseignantes et enseignants des Laurentides (SEEL).
Mme Lamonde, qui est dans le milieu scolaire depuis près de 30 ans, croit toutefois que les motivations des jeunes ont changé parlant notamment de santé mentale.
Le CSSL affirme que les ressources spécialisées sont au rendez-vous pour épauler les élèves, leurs parents et les enseignants.
La DGA du CSSL affirme que chaque cas de violence entraîne une suspension automatique et une évaluation effectuée par l'école.
Selon elle, la réouverture des classes pour les élèves qui ont des troubles de comportement, comme le demande le SEEL, ne fait aucunement partie de la solution.
Vous êtes témoin d'un événement ou avez une histoire à nous partager ? Écrivez à nos journalistes via nouvelles@cime.fm
Écoutez-nous en tout temps pour suivre l'actualité locale et régionale dans les Laurentides (103.9 - 101.3 - 104.9) et l'Est ontarien (102.1) ou téléchargez notre application mobile Cogeco Média.