Les révélations-chocs d'une infirmière de l'urgence de Saint-Jérôme, hier sur nos ondes, continuent de faire réagir.
Le CISSS des Laurentides, de son côté, demeure très vague et refuse de commenter ce cas spécifique.
Et ce, malgré les propos de cette employée qui a témoigné pour dénoncer à la fois les conditions de travail difficiles du personnel, mais aussi celles des patients, comme rarement on l’a entendu publiquement.
Le CISSS des Laurentides a refusé de nous accorder une entrevue, mais assure que la direction travaille avec les responsables des programmes cliniques afin de désengorger les urgences et améliorer la fluidité des soins à l’hôpital.
Nos services hospitaliers sont confrontés à plusieurs défis. Le manque de personnel demeure un enjeu important qui a des répercussions sur notre capacité d’admission. Cette situation touche plusieurs services de santé et départements, ce qui met une grande pression sur nos équipes.
Source: Courtoisie
«On a atteint un point de rupture»
Pendant ce temps, CIME continue de recevoir des messages du personnel de l’Hôpital régional de St-Jérôme qui affirme que le manque de lits et de ressources pour les patients est criant, que le « point de rupture » est atteint dans l'établissement et que les équipes craignent de commettre des erreurs médicales, tellement elles sont débordées.
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