C’est dans le cadre d’une entrevue accordée au magazine La Semaine que l’actrice Ludivine Reding s’est livrée, en toute transparence, au journaliste Daniel Daignault. En effet, la jeune comédienne de 25 ans a bien des projets qu’elle aimerait accomplir et c’est grandement impressionnant.
Premièrement, nous ne savions pas que la comédienne suivait actuellement des cours dans le domaine de l’immobilier. Nous ne savions pas non plus qu’elle rêvait de devenir sexologue. De plus, elle s’est ouverte sur un projet qu’elle chérit plus particulièrement : celui de lancer une entreprise avec son copain.
« J’aimerais lancer une entreprise avec mon copain, et j’ai une idée de projet de film que je voudrais concrétiser. Ce sont de nouvelles choses pour moi, et c’est un long processus que de faire le saut. Une fois que je vais l’avoir fait, je serai contente, mais c’est un peu épeurant. J’étudie aussi en immobilier. Je suis super lente parce que je le fais par moi-même et, comme je travaille beaucoup, le temps que j’ai pour étudier est restreint. Mais j’aimerais terminer d’ici la fin de l’année parce que l’immobilier, ça m’intéresse, et je sais que je peux faire quelque chose là-dedans. Je souhaite voir mes projets se concrétiser et décrocher un rôle qui m’interpellerait, dans lequel je pourrais vraiment m’investir. Je ne passe pas beaucoup d’auditions et j’ai hâte d’en faire pour obtenir un rôle », lançait-elle au journaliste.
Elle s’est également ouverte sur le fait que même si on ne la voit pas beaucoup à l’écran en ce moment, ça ne veut pas dire qu’elle travaille moins. Ludivine fait énormément de doublage par les temps qui courent. Elle en fait presque tous les jours.
« Je fais un peu de tout, c’est super varié. Je prête aussi ma voix à des livres audios; j’en fais un en ce moment pour les adolescents. J’ai commencé à faire ça l’an dernier et j’adore », raconte-t-elle.
« J’ai beaucoup travaillé durant les cinq dernières années, et là, c’est comme une pause. C’est peut-être aussi à cause de mon âge (elle a eu 25 ans en février): je suis entre-deux et on ne pense peut-être pas à moi. Avant, je faisais beaucoup les filles de 17 ans à 25 ans, j’ai l’air peut-être trop jeune, je suis dans une phase intermédiaire. Mais je travaille quand même et j’ai du plaisir. J’ai hâte de voir ce qui m’attend. Tant qu’on reste positive, les choses arrivent. C’est cool parce qu’à 25 ans, j’ai vécu des choses, mais il m’en reste tellement à vivre! En ce moment, je suis plus assise dans la vie, je sais plus où je m’en vais, je suis à une bonne place amicalement, amoureusement et avec ma famille », ajoute-t-elle.
Par la suite, le journaliste l’a questionné sur sa passion pour l’immobilier.
« J’ai commencé en novembre 2020, c’est un peu long. Mais j’ai fini trois cours dont l’un est le plus gros, celui de droit immobilier. C’est comme l’équivalent de deux cours parce qu’il est très dense », précise-t-elle. « Au départ, c’est pour mes propres connaissances en immobilier que j’ai suivi ces cours. J’aime beaucoup ce domaine, j’ai acheté quelques immeubles et, puisque j’avais du temps, j’ai voulu en connaître plus sur le sujet. Je suis bien contente d’avoir suivi ces cours, on ne sait jamais ce que l’avenir me réserve pour ma carrière ».
Un peu plus loin dans l’entrevue, Ludivine Reding a avoué caresser le désir de devenir sexologue.
« Je sais que les études sont super longues pour me rendre où je voudrais aller, mais c’est un autre truc qui me tenterait », lançait-elle au journaliste du magazine La Semaine.
Nous lui souhaitons bonne chance!
Pour lire l’entrevue au complet, c’est par ici.