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Mort tragique du PDG de Savoura et de son fils : défaillance de la radiobalise d’urgence

Mort tragique du PDG de Savoura et de son fils : défaillance de la radiobalise d’urgence
Image / Courtoisie Savoura

Développement majeur dans l'enquête du Bureau de la sécurité dans les transports sur la tragédie qui a coûté la vie au président fondateur des Serres Sagami/Savoura Stéphane Roy et son fils à l'été dernier.

Dans un avis de sécurité publié ce matin, le BST révèle qu'il y a eu défaillance du système de verrouillage de l’interrupteur de la radiobalise de repérage d’urgence (ELT), modèle Kannad et fabriqué par Orolia.

L'enquête indique que cette anomalie a empêché l'envoi d'un signal de détresse lors de l'écrasement de l'hélicoptère le 10 juillet dernier, près du Lac Valtrie, au nord du parc national du Mont-Tremblant.

Le BST indique que si la radiobalise de repérage d’urgence peut basculer à la position « OFF » lors d’un impact, les opérations de recherche et sauvetage peuvent être retardées, ce qui diminue par le fait même les chances de survie des occupants.

Il précise également que ce bris n’avait pas été détecté par l'organisme de maintenance agréé 3 mois avant l’accident.

Avec cet avis de sécurité, le BST avise Orolia et Transports Canada du problème et demande à ce que les procédures d’inspection périodique de ces ELT soient révisées afin qu’une telle défaillance puisse être détectée et corrigée.

L'organisme poursuit son enquête pour établir les causes exactes de l'écrasement du l'hélicoptère privé Robinson R44 appartenant à M. Roy.

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Retrouvés 14 jours plus tard

L'homme d'affaires Stéphane Roy et son fils Justin âgé de 14 ans avaient quitté Lac De La Bidière, dans les Hautes-Laurentides, à destination de leur domicile de Sainte-Sophie.

Ils ont été retrouvés sans vie 14 jours après l'écrasement qui a nécessité de vastes recherches et le survol de 20 000 kilomètres carrés de territoire densément boisé dans les Hautes-Laurentides.

Les Forces armées canadiennes, la  Sûreté du Québec, la Garde côtière canadienne, l’organisme bénévole Sauvetage et recherche aériens du Québec (SERABEC) ainsi que de nombreux propriétaires d’aéronefs privés ont effectué des recherches aériennes, au sol et sur l'eau dans les jours ayant suivi la disparition.

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