Dernière journée avant les vacances scolaires
Le SPVSJ assure qu'il y aura présence policière accrue aux abords de l'établissement aujourd'hui.
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
L'esprit des Fêtes s'empare de l'équipe qui vous a concocté cet épisode des plus festifs. Retour sur leurs souvenirs de Noël, on se réconcilie avec l'aspic, on vous propose des cocktails savoureux à servir à vos invités et l'unique Ron Fournier nous partage ses meilleures anecdotes du temps des Fêtes.
À l'occasion de la revue de presse du 19 décembre, sa dernière avant les vacances des fêtes, Paul Arcand revient sur l'affaire de Mazan après un procès de 3 mois et demi. Dominique Pelicot, accusé d'avoir drogué et violé son ex-femme, a été condamné jeudi à la peine maximale, 20 ans de prison.
Des peines de 3 ans, dont 2 avec sursis, ont été prononcées pour les 50 coaccusés dans cette affaire.
«Gisèle Pelicot est devenue un symbole qui invite les femmes à être droites [et] fortes. On l'a vu d'une solidité dans son témoignage. À chaque fois qu'elle se trouvait, comme aujourd'hui, dans la salle d'audience, elle est d'une dignité, mais elle a dû se débattre face à des préjugés.»
Paul Arcand
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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur la situation entourant le leadership du premier ministre Justin Trudeau à Ottawa.
Le chef libéral, affaibli depuis la démission fracassante de la ministre des Finances Chrystia Freeland, est critiqué par des membres de son propre parti.
«Justin Trudeau tiendra-t-il le coup jusqu'à vendredi? Profitera-t-il de la période des Fêtes pour prendre une marche, calmer la tempête autour de lui [...] Concrètement, on voit de plus en plus de députés, de ministres qui lui demandent poliment, gentiment de bien réfléchir. Ce qui veut dire, monsieur Trudeau, c'est le temps de partir. Sondage après sondage, on voit qu'il est 20 points derrière Pierre Poilievre. C'est à peu près impossible à remonter. Et on voit monsieur Trump qui s'amuse à le ridiculiser.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la situation politique sur la colline Parlementaire alors que Justin Trudeau continue de s'accrocher au pouvoir malgré la démission de sa fidèle alliée, Chrystia Freeland, qui était à la fois ministre des Finances et vice-première ministre du Canada.
Son départ est survenu lundi, le jour même où elle devait présenter l'énoncé économique de l'automne. Un mini-budget comprenant un déficit de 62 milliards de dollars.
«Son mini-budget est une catastrophe. Un mini-budget avec lequel elle n'est pas d'accord. Elle n'est pas capable de le défendre. [...] Pour monsieur Trudeau, [...] ce sont des échecs répétés, des ministres qui partent, un bilan économique terrible. Il regarde les sondages, monsieur Poilievre a plus de 20 points d'avance. Monsieur Trudeau a deux options: il quitte ou il se fait battre solidement à la prochaine élection. Rien n'indique qu'il puisse renverser la vapeur.»
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À l'occasion de la revue de presse du lundi 16 décembre, Paul Arcand discute de la reprise du service de Postes Canada mardi.
«Postes Canada aura besoin de combien de temps pour vider ses entrepôts et distribuer les colis et lettres qui se sont accumulés depuis un mois? Plusieurs jours, quelques semaines? Chose certaine : Postes Canada ressort écorchée par ce conflit de travail.»
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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente les nombreuses conséquences négatives du conflit de travail à Postes Canada.
Les Québécois sont nombreux à tenter de récupérer leur carte de crédit, leur carte soleil ou leur passeport alors que plusieurs s'apprêtent à s'envoler vers une destination soleil.
«Officiellement, 185 000 passeports sont coincés dans les entrepôts de Postes Canada [...] Les gens veulent aller dans le sud [...] Une auditrice, Marie-Ève, m'a raconté son aventure. Elle a fait une demande de passeport en personne le 6 novembre. Elle devait le recevoir dans les dix jours. La grève a ensuite été déclenchée [...] Elle vit un stress. Une attente incroyable. De l'anxiété. Il y a une frustration qui s'installe et on sait que la machine est lourde. Comprenez-vous pourquoi il y a des gens qui trouvent ça assez stressant? On ne parle pas juste de livraison de cadeaux de Noël...»
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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente les propos du milliardaire américain Elon Musk, proche du président désigné Donald Trump, qui a qualifié Justin Trudeau de «crétin insupportable» sur son réseau social X.
Musk, qui est aussi le grand patron de Tesla, réagissait à des propos que le premier ministre du Canada a tenus publiquement où il associait la défaite de Kamala Harris au recul du droit des femmes aux États-Unis.
«En d'autres termes, il a dit que la victoire de Trump est un net recul [...] C'est comme une sortie frontale contre monsieur Trump [...] Ça prouve à quel point monsieur Trudeau est déconnecté de la réalité. Il devrait lire les commentaires d'élus démocrates concernant les raisons de la défaite. C'est vrai que c'est une femme. Et pour beaucoup d'Américains, une femme noire, c'est impensable de voter pour elle. C'est clair qu'il y a ce vieux fond misogyne et raciste qui existe. Mais il y a aussi le fait que le Parti démocrate s'est éloigné de sa base [...] Monsieur Trump va encore rire de Justin Trudeau.»
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À l’occasion de sa revue de presse mercredi matin, écoutez Paul Arcand aborder l’entêtement dans le conflit à Postes Canada, tant dans les positions patronales que syndicales.
«Postes Canada est une entreprise déficitaire avec un modèle d’affaires qui date d’une autre époque et le syndicat semble très à cheval sur ses revendications. Je ne veux pas me mêler de la négo, mais entre temps il y a quand même des impacts sur le service à la population.»
Il revient sur les impacts de la grève sur le secteur de la Santé tel que mentionné dans le Devoir.
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À l'occasion de sa revue de presse mardi matin, Paul Arcand aborde l'absence d’entente chez Postes Canada, alors que les commerçants sont nerveux et ne peuvent garantir de date précise pour les livraisons normalement prises en charge par la société d'État.
«On n'a pas d'écho de la table de négociation. On ne sait pas comment ça se passe entre le syndicat et l'employeur.»
Il aborde ensuite le dossier de La Presse concernant des enfants qui, très jeunes, font appel aux services de Tel Jeune. Environ 1000 jeunes enfants ont contacté l'organisme en 2024 pour obtenir de l'aide ou des conseils pour gérer leur anxiété, leur tristesse et parfois leurs pensées suicidaires.
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente la situation en Syrie où l'organisation islamiste Hayat Tahrir Al-Cham a pris le pouvoir.
Accompagné de sa famille, le président et dictateur syrien Bachar Al-Assad a fui en Russie où il a obtenu l'asile politique.
C'est le chef de la coalition rebelle, Abou Mohammad al-Jolani, qui a mené l'offensive dans ce pays de 24 millions d'habitants comportant plusieurs minorités religieuses. La grande question, maintenant, est de savoir quel type de régime il compte mettre en place.
«C'est un individu qui s'est dissocié d'Al-Qaïda et de l'État islamique, mais il a pourtant été un commandant actif et dans des zones contrôlées par son organisation, on a tenté d'implanter la charia, de lapider des femmes adultères et d'écraser des brigades rebelles. Alors, quelle sorte de pouvoir islamique va-t-on établir en Syrie et comment se fera la transition?»
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